Château de Josselin
Morbihan Bretagne France
castle, chateau
Château de Josselin
Morbihan Bretagne France
castle, chateau
Josselin Castle is a medieval castle at Josselin, in the Morbihan department of Brittany, France, first built in the 11th century and rebuilt at various times since
Le château de Josselin est situé à Josselin, commune française du département du Morbihan en Bretagne
Previous names
Château de Josselin, Château de Josselin
Description
Josselin Castle is a medieval castle at Josselin, in the Morbihan department of Brittany, France, first built in the 11th century and rebuilt at various times since. It has been designated as a monument historique since 1928. History Guéthénoc, vicomte of Porhoët, Rohan and Guéméné, began to build the first castle on the site around the year 1008, choosing a rocky promontory overlooking the valley of the Oust. The new fortress was named after Guéthénoc's son, Goscelinus. The name is recorded in the Cartulary of Redon Abbey (1080) as castellum et castrum Goscelini, but already by 1108 it was appearing as Castellum Joscelini. The site chosen for the castle was excellent from both the commercial and the military points of view, and since the 9th century there had also existed an annual pilgrimage in September to the Basilica of Our Lady of the Bramble (Notre-Dame du Roncier), which added greatly to the wealth of the lords and people of Josselin. In 1154, Odo, Viscount of Porhoet, step-father, guardian and regent of the young Conan IV, Duke of Brittany, collected the Breton lords to deprive Conan of his inheritance, but was defeated by Henry II of England, who was also Duke of Anjou, whose protection Conan had sought. Henry married his fourth son, Geoffrey, to Conan's only child, Constance, Duchess of Brittany, and Henry and his son pulled Josselin Castle down in 1168 and 1175. Henry II himself led the demolition and sowed salt into the ruins. During the Breton War of Succession (1341–1364), the garrison of Josselin fought inconclusively the defenders of the nearby Castle of Ploërmel. To break the impasse, the Battle of the Thirty was arranged, contested by thirty knights from each side, and took place on 26 March 1351 halfway between the two places. The men of Josselin defeated the champions of Ploërmel, who consisted of four Bretons, six Germans, and twenty Englishmen. In 1370 the Breton soldier Olivier de Clisson (1336–1407), later Constable of France, acquired the lordship of Josselin and built an imposing new fortress with eight towers and a keep one hundred yards across. He married his daughter Beatrice to Alain VIII of Rohan, heir to the viscounts of Rohan, whose own castle was not far away. The castle now boasts an equestrian statue of Olivier de Clisson. In 1488 Francis II, Duke of Brittany, took the castle and partially demolished it. His daughter, Anne of Brittany, restored it to Jean II of Rohan, a great-grandson of Olivier de Clisson, who transformed the property and built a noble new house with a fine granite facade, an early example of Renaissance architecture, importing Italian artists and artisans. In recognition of his patroness Anne, sovereign Duchess of Brittany and Queen Consort of France, Rohan added to the facade at several points the sculpted letter A beneath a cord, her badge. Banned from Josselin due to their Protestantism, René II, Viscount of Rohan and the other Rohan men could not prevent the Duke of Mercœur, then Governor of Brittany, from turning their castle into a base for the Catholic League in its struggles against Henry IV of France. In 1603, after being advanced by Henry IV to a dukedom, Henry, Duke of Rohan, one of the leaders of the insurgent Huguenots, transferred his military headquarters to his Castle of Pontivy. In 1629, Cardinal Richelieu dismantled the keep and four of the towers at Josselin and announced to Duke Henry: "My lord, into your game of skittles I have just thrown rather a good ball!" In the 18th century, the castle was no longer occupied as a seat of power, and during the years of the French Revolution and the First French Empire it became a prison and warehouse. In 1822, Caroline, Duchess of Berry, persuaded the then Duke of Rohan, Louis François de Rohan-Chabot, to restore it. The Antechamber of the castle contains a marble bust of the 13th Duke, Alain Louis Auguste de Rohan-Chabot, sculpted in 1910 by Auguste Rodin. The Castle is still a residence of Josselin de Rohan, fourteenth Duke of Rohan, who was President of the region of Brittany from 1998 to 2004.
Le château de Josselin est situé à Josselin, commune française du département du Morbihan en Bretagne. Réalisé entre 1490 et 1505 en reprenant bon nombre d'éléments issus du style Louis XII, il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 21 août 1928. Il est une des pointes du triangle rohannais (trois grandes forteresses La Chèze, Josselin et Pontivy) qui a pour centre le village de Rohan, le fief nominal de la maison de Rohan dont le château est délaissé au profit des trois autres. Histoire Le château au Moyen Âge Guéthénoc, cadet de la maison ducale de Bretagne, vicomte de Porhoët, de Rohan et de Guémené, membre de la famille des comtes de Rennes, aurait quitté la motte féodale de Château-Tro en Guilliers pour construire en ce lieu un premier château en bois vers l'an 1008. Il exploite ainsi un site de haute valeur militaire et commerciale comprenant un surplomb rocheux qui domine en à-pic la rivière Oust et correspondant à l'intersection de deux voies romaines : Sipia - Castel-Noec et Vannes - Merdrignac. Son fils Goscelinus donne son nom à la nouvelle forteresse, Castellum Goscelini, d'où Château-Josselin puis Josselin, le bourg castral qui se développe au pied du château et offre une relative sécurité. Le territoire est alors presque désert, mais connu par la chapelle Notre-Dame du Roncier où est vénérée une statue de la Vierge, découverte au ixe siècle et qui donne lieu à un pèlerinage, ce qui contribue à l'essor économique du village. Ce pèlerinage est d'ailleurs un des plus importants du Morbihan, après celui de Sainte-Anne-d'Auray. La pauvreté documentaire de cette période ne permet pas de bien saisir le rythme et les étapes de cet encellulement lié à la construction de ce château et au pardon de Notre-Dame du Roncier, mais il correspond à une entreprise des Rohan de défrichement, de concentration et de domination des hommes. En 1154, Eudon de Porhoët, beau-père, régent et tuteur du jeune duc de Bretagne, Conan IV, rassemble des seigneurs bretons pour priver son beau-fils de ses droits. Il est défait par Henri II Plantagenêt, roi d'Angleterre et nouveau duc d'Anjou, auprès duquel s'est réfugié Conan IV. Vers 1170, Henri II vient en personne diriger la démolition du château et fait semer du sel afin de maintenir les murs en ruine. La forteresse est relevée dès 1173 par le vicomte de Porhoët Eudon, allié du roi de France. Puis la châtellenie passe aux mains de plusieurs grandes familles étrangères à la Bretagne, dont les Lusignan, les comtes d'Alençon et du Perche. En 1370, ces derniers acceptent de céder Josselin, « château ville et châtellenie », à Olivier V de Clisson en échange de la baronnie du Thuit, près de Falaise. Cette acquisition coïncide avec le revirement de Clisson du côté français et amorce de manière délibérée sa brouille avec le souverain breton. À partir du château existant, Clisson fait édifier la forteresse la mieux armée de Bretagne : une enceinte féodale de 4 500 m2, avec un châtelet-résidence et des remparts de 25 m jalonnés de neuf tours et un énorme donjon de 26 m de diamètre et 32 m de hauteur. En 1389, Clisson est banni du royaume de France et est condamné à mort par le duc Jean IV. Il se réfugie dans sa place forte de Josselin mais Jean IV ne tarde pas à faire le siège du château. Parsemée de trêves, la lutte avec le duc de Bretagne continuera jusqu'à sa mort. Le château à la Renaissance Après la mort d'Olivier de Clisson, le château devient alors la propriété d'Alain VIII de Rohan (héritier des vicomtes de Rohan, dont le château est à une vingtaine de kilomètre), qui a épousé Béatrice, fille d'Olivier de Clisson. Son fils Alain IX de Rohan commence à faire construire un logis qu'il adosse aux tours et à la courtine. En 1488, le duc de Bretagne François II prend le château et le démolit partiellement afin de punir Jean II de Rohan de son soutien au parti français qui lui est opposé. Sa fille Anne de Bretagne le restitue à Jean II, qui, grâce aux revenus de la châtellenie de Dinan et de Léhon et du « billot » (produit d'une taxe sur les boissons pour cinq années) dont il est gratifié par Charles VIII en remerciement de son aide pour conquérir la main de la « petite duchesse », peut transformer le castel et construire dans l'enceinte un logis de plaisance, qui sera doté de 1490 à 1510 d'une très belle façade de granit sculpté typique du style Louis XII (1495-1525/1530), formant la transition entre l'art gothique et la Première Renaissance. Malgré la présence d'artistes et d'ouvriers italiens, l'ornementation des façades témoignent des relations qui existent alors entre la production architecturale française et celle du plateresque espagnol. Parallèlement, ses reconnaissance lui permettent de faire sculpter de nombreux A surmontés d'une cordelière, emblème de la Duchesse-Reine. Bannis de Josselin du fait de leur adhésion au protestantisme, les Rohan doivent laisser le gouverneur de Bretagne, le duc de Mercœur, faire de leur château une base pour la Ligue opposée au nouveau roi Henri IV. L'histoire du château reste obscure pendant de longues années, mais la guerre de Succession de Bretagne lui rend son rôle militaire lors de l'épisode du combat des Trente en 1351 : de Josselin partent les trente partisans de Charles de Blois sous la conduite de Jean de Beaumanoir. Le château passe aux mains des Rohan dont l'essor s'affirme au xve siècle. En 1455, le vicomte de Rohan réaménage le château pour y installer de l'artillerie. Les travaux semblent montrer par la suite une inflexion des programmes. Le temps des préoccupations d'ordre militaire est passé. Jean II de Rohan entreprend d'importants travaux de restauration visant à améliorer le confort. Il fait reconstruire le manoir d'habitation et sa belle façade sur la cour nord-est. En 1603, lors de l'érection de la vicomté de Rohan en duché-pairie par le roi Henri IV, Henri II de Rohan, général en chef des protestants, transfère le siège de son pouvoir au château de Pontivy. Lors des guerres de Religion, il se révolte contre le pouvoir royal. Pour le punir, le cardinal de Richelieu fait démanteler en mars 1629 le donjon (en deux temps, tant sa masse est imposante) et trois tours, mais épargne le bâtiment Renaissance. Richelieu annonce au duc Henri II, chef des insurgés protestants : « Monseigneur, je viens de jeter une bonne boule dans votre jeu de quilles ! ». En 1694, après la bataille de Camaret, le château sert de prison aux soldats anglais. Au xviiie siècle, les Rohan, vivant à la Cour, ne résident plus au château qui est démeublé et délaissé. Le château redevient prison en 1758, après la bataille de Saint-Cast, et abrite alors près de 1 200 prisonniers de guerre. En 1760, devant le délabrement de la forteresse, Louis III de Rohan Chabot fait raser ce qui reste des deux grandes tours qui encadrent la première porte et le pont-levis. En 1776, afin de procurer du travail aux enfants pauvres de la région, la duchesse de Rohan permet d'établir une filature de coton dans les salles du rez-de-chaussée. Le château à l'époque contemporaine Lors de la Révolution, la municipalité réquisitionne le château et s'y installe pour tenir ses séances. Une partie de l'habitation sert de dépôt de grains et, dans la tour isolée, les « ci-devants » sont emprisonnés dans des conditions dénoncées par le général Lazare Hoche dans un rapport à la Convention nationale. En 1799, le château est rendu à la famille Rohan, dans un état très dégradé. Cette situation d'abandon du château se poursuivra jusque vers 1850. En 1822, la duchesse de Berry, lors de sa tournée aventureuse, convainc le duc de Rohan de le restaurer, et des estampes de cette époque, dont une datée de 1828, montrent un bâtiment fort délabré, à la longue toiture effondrée par endroits. Vers 1835, Charles de Rohan-Chabot, dixième duc de Rohan, décide d'engager une restauration en bonne et due forme de sa demeure, très largement délabrée et où le toit s'écroule par endroits. Le chantier débute vers 1855, sous la direction de l'architecte Jules de La Morandière, élève de Viollet-le-Duc. L'extérieur est remis en état, l'intérieur décoré dans le style néo-gothique dit « Troubadour » alors en vogue et remeublé est presque totalement réaménagé. Le chantier est poursuivi par le blésois Henri Lafargue de 1880 à 1904 puis par Alain Lafargue en 1917, avant d'être ouvert au public vers 1930. Il est actuellement habité par le quatorzième duc de Rohan, Josselin de Rohan, retiré des affaires de politique régionale ou nationale, et sa famille. Sont visitables les jardins et quatre vastes pièces du rez-de-chaussée du château, la longue salle à manger dessinée par Lafarge, dont le haut des lambris est sculpté à jour des prénoms du duc Alain, de ses parents, de son épouse et de ses enfants, le salon, une antichambre et la bibliothèque contenant 3 000 volumes et des portraits anciens. Y sont exposés de nombreuses œuvres d'art : tableaux de maîtres dont un portrait de Louis XIV par Rigaud, celui de l'amiral Du Casse qui lui est attribué, celui de Louis XV enfant par Rosalba Carriera, nombre d'effigies familiales (le cardinal de Rohan, la duchesse de La Rochefoucauld d'Enville, Josselin de Rohan-Chabot (1876-1916) 12e duc de Rohan et député du Morbihan par Jean-Gabriel Domergue), le buste en marbre du duc Alain par Auguste Rodin, un beau mobilier du xviiie siècle (Davies, Heurtaut, Teuné), la table ayant servi à la signature de l'édit de Nantes), des porcelaines de Sèvres, une grande pendule offerte par Louis XV à Bussy, successeur de Dupleix comme gouverneur de l'Inde française (1755-1758), l'exemplaire en bronze de la célèbre statue d'Henri de Navarre jeune par Bosio qui orna jusqu'en 1830 l'appartement des enfants royaux au Palais des Tuileries, une statue équestre monumentale en marbre d'Olivier V de Clisson par Emmanuel Frémiet dont la reproduction en plâtre, offerte par le 12e duc est exposé dans une salle du château de Suscinio. Les anciennes écuries ont été réaménagées afin d'accueillir le Musée de poupées. Architecture De l'imposante citadelle triangulaire jalonnée par neuf tours (dont les murs ont 3,50 mètres d'épaisseur) plus un imposant donjon, bâtie au xve siècle, il ne reste que le long corps de logis le long de l'Oust, les trois tours comprises, et au nord-ouest une tour séparée du logis qui servit de prison au xviiie siècle (d'où son appellation de « Tour-prison ») et de bureau pour le greffe de la juridiction seigneuriale. Cette aile a été transformée en château de plaisance, et restaurée au xixe siècle dans le style néo-gothique avec notamment une caractéristique originale le faîtage des lucarnes presque au niveau du faîtage du comble. Le reste de la forteresse a été démantelée en 1629 pendant la campagne de démolition du cardinal de Richelieu, qui souhaitait éliminer les forteresses non royales, puis s'est délabrée progressivement. L'enceinte à peu près triangulaire est posée sur un bloc de schiste taillé en glacis. Dans une distribution intérieure fort traditionnelle, le maître d'œuvre a intégré un élément très novateur, l'escalier rampe sur rampe, le plus ancien connu en France, dont la présence et sa fonction sont clairement explicitées par un jeu d'ouvertures qui annonce les fastes des châteaux de la Loire. L'emploi exclusif du granite, pierre à sculpter qui montre qu'elle n'est pas un obstacle insurmontable, différencie le château de Josselin des autres œuvres où si souvent le tuffeau et la brique donnent une polychromie murale ici absente. L'aile du côté de la rivière présente une austère façade typique de l'architecture militaire : trois tours rondes très élevées en poivrière sont couvertes en ardoise et reliées entre elles par des courtines couronnées de corbelets et mâchicoulis bretons sommés d'arcatures trilobées. Contre la courtine est adossée la maison d'habitation avec fenêtres carrées, celles de l'étage supérieur intégrées dans des grandes lucarnes à deux étages surmontées de pignons à chou et crochets. Jean II de Rohan fait réaliser entre 1495 et 1506 la façade côté cour, témoignage exceptionnel du gothique flamboyant et de la Renaissance bretonne. L'édifice se compose d'un vaste corps de logis, tout en façade, construit en granit. La célébrité du château de Josselin est due à cette façade basée sur un fort contraste entre le mur gouttereau, y compris ses ouvertures (portes et fenêtres), simplement souligné d'arcs en accolade, et l'ensemble des lucarnes à pinacles et balustrades. Le lien est fait par une série de descentes d'eau en pierre sculptée. Au dessus du rez-de-chaussée, d'immenses lucarnes à deux étages sont reliées entre elles par une galerie ajourée sur laquelle la majeure partie de la sculpture est réservée. Cette balustrade qui repose sur une corniche en encorbellement offre ainsi une grande variété de motifs décoratifs : pinacles, remplages au dessin tourmenté, cordelières, A couronnés, macles en forme de losange et devise "A PLUS" (armoiries et devise des Rohan), fleurs de lys, hermines stylisées, arabesques... Les portes et les fenêtres, surmontées par des arcs en accolade surbaissés décorés de choux frisés, sont plus sobrement décorées. Dans la partie médiane, deux portes percées côte à côte indiquent la présence de l'escalier central. Les dix lucarnes comportent dans leur partie inférieure une grande fenêtre rectangulaire, divisée en six carrés égaux. Elles sont chacune dotées d'un trumeau richement sculpté et couronnées par un gâble très aigu dont les tympans sont ornés tantôt d'un A couronné, tantôt d'un écu armorié avec le collier de Saint-Michel. Parcs et jardins Le jardin à la française créé au début du xxe siècle par le paysagiste Achille Duchêne s’étend devant la façade Renaissance du château. Les buis et des ifs taillés encadrent les pelouses. Une roseraie a été aménagée en 2001 sous la direction du paysagiste Louis Benech. Elle comporte 160 rosiers appartenant à 40 variétés différentes. Un parc à l'anglaise lui aussi créé par le paysagiste Achille Duchêne et revu par Louis Benech s'étend au pied des remparts, le long d’un cours d’eau. Ce parc présente des espèces rares d’azalées, de camélias, de nombreux rhododendrons et des arbres centenaires. Il est ouvert au public pour les Journées du Patrimoine et Rendez-vous au jardin.
Useful information
Le parking GRATUIT Adulte: 9,70 € (visite guidée du сhâteau et accès aux jardins); 14 € (château et musée de poupées); 8,50 € (visite libre du Musée de poupées) Enfant (de 7 à 14 ans): 5,80 € (visite guidée du сhâteau et accès aux jardins); 8 € (château et musée de poupées); 5,50 € (visite libre du Musée de poupées) Enfant (moins de 7 ans): gratuit Groupe adultes (à partir de 20 personnes): 7,70 € (visite du château); 5 € (visite au Musée de poupées et jouets). La gratuité conducteur et la gratuité accompagnateur sont offertes Groupe scolaires: 3,90 € (visite guidée et animée; 3,50 € (visite au Musée de poupées et jouets). La gratuité pour les accompagnateurs est accordée (1 accompagnant pour 10 élèves payant) contact@chateaudejosselin.com
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