Château de Mont-Saint-Jean
Côte-d'Or Bourgogne-Franche-Comté France
castle, chateau
Château de Mont-Saint-Jean
Côte-d'Or Bourgogne-Franche-Comté France
castle, chateau
The Mount St John Since time immemorial, Mount St John has been a spiritual site
Mont-Saint-Jean est une commune française située dans le canton d'Arnay-le-Duc du département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté
Previous names
Château de Mont-Saint-Jean, Château de Mont-Saint-Jean
Description
The Mount St John Since time immemorial, Mount St John has been a spiritual site. The church dedicated to Saint John the Baptist was the mother-church for the surrounding parishes. From 1464 to 1542 the Mount was the seat of the Order of the Bretheren of St. John of Jerusalem. Due to their large income, (the great tithes) seven priests could accommodate and feed seven destitute parishioners. Even after the destruction of both castle and church, St John's day (on June 24th) remained an important holiday. Up until 1794 a hermit lived on the mount and read mass in the chapel. The Castle At present, we don't have any definite data neither about the origins nor about the appearance of the first castle on Mount St. John. Excavations have revealed Gallo-Roman substructures below the medieval fortifications. The first castle belonged to the lords of Gymnich and was located in Dudelange. It was destroyed around 1400 by the Duke of Bar. The construction of the castle had begun in the early 15th Century. The walls uncovered during the excavations show significantly different construction periods culminating in the castle of the 16th Century (Gothic and Renaissance). The square stone blocks and reliefs show that the Lords of Gymnich, Boulay, Neufchatel, Hunolstein and Isenbourg invested heavily in both the fortifications and the luxuries of their castle. Various documents describe it as a very 'strong place' -a mighty castle- famous for its feasts. It deteriorated dramatically when from 1542, the kings of France François 1er and Henry II made war on Emperor Charles Quint (Charles V) when it was conquered and reconquered many times before its final destruction in 1552 after which it lost any strategic value. Subsequently, the ruins were used as a quarry for the nearby villages. In the 1970s, the Friends of History of Dudelange and Mount St. John dug out the remains of the castle and uncovered the foundations of various towers, the palace, houses, stables and outbuildings; three wells and a cistern were partially excavated. The moat and the access to the castle are still visible. However, the castle still holds many legendary secrets like that of the Virgin of Mount St John, who -transformed into a snake- awaits her saviour every seven years. https://www.visitluxembourg.com/en/place/castle/mont-saint-jean-castle-dudelange
Mont-Saint-Jean est une commune française située dans le canton d'Arnay-le-Duc du département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté. Cette petite ville médiévale est limitrophe au parc naturel régional du Morvan. Géographie Situation Mont-Saint-Jean est dans le quart sud-ouest de la Côte-d'Or, à 20 km de la Nièvre à l'ouest et 20 km de la Saône-et-Loire au sud-ouest. Sa préfecture Dijon est à 61 km à l'est, son chef-lieu de canton Arnay-le-Duc à 24 km au sud. D'autres villes proches sont Saulieu (18 km à l'ouest), Autun (45 km au sud), Montbard (45 km au nord-ouest), Beaune (60 km au sud-est). Paris est à 265 km au nord-ouest. La commune est limitrophe au parc naturel régional du Morvan sur environ 4,4 km, la longueur de la limite de commune partagée avec Thoisy-la-Berchère à l'ouest. Routes et transports Deux autoroutes se rencontrent à 20 km au sud-est, à l'échangeur no 24 de Pouilly-en-Auxois : l'autoroute A6 et l'autoroute A38, qui débute là et mène à Dijon. La D977bis traverse d'est en ouest toute la partie sud de la commune, proche de la limite de communes avec Marcilly. Elle relie Saulieu à l'ouest avec Vandenesse, Commarin et Sombernon (est et sud-est). La route départementale D36 longe le côté ouest de la vallée du Serein, remontant vers le nord-est pour rejoindre vers Précy-sous-Thil la D980 Autun / Montbard / Châtillon-sur-Seine. La D117, qui commence sur la D36 à l'ouest de Mont-Saint-Jean, grimpe sur la butte pour traverser le bourg puis se dirige vers le nord-ouest pour rejoindre Vitteaux. Les gares de train les plus proches sont la gare de Dijon-Ville et la gare de Beaune. L'aérodrome de Pouilly - Maconge est à 19 km au sud-ouest. L'opérateur de bus Transco dessert Mont-Saint-Jean (un bus par jour). Hydrographie Le Serein traverse l'ouest de la commune, coulant à peu près en parallèle de la limite de communes avec Thoisy, à environ 500 m de cette limite. Il aborde la commune à 375 m d'altitude au sud-ouest au Pré du Pont, 750 m à l'ouest du moulin Génot ; ses premiers 300 m servent de limite de commune entre Mont-Saint-Jean et Marcilly et il reçoit là son affluent de rive droite le Dorant. 500 m après avoir pénétré dans la commune, il reçoit toujours en rive droite le ruisseau en provenance d'Ormancey. 500 m plus loin il arrose le moulin Doyen à 367 m d'altitude puis atteint Sonnotte 2 km en aval du moulin. 300 m en aval de Sonnotte il reçoit en rive droite le ruisseau de Gincey. Il quitte la commune à 355 m d'altitude à l'ouest de Sonnotte, en aval de ce hameau. Son affluent de rive droite le Dorant sert de limite de communes avec Marcilly-Ogny au sud, mais conflue avec le Serein sur Marcilly. Le ruisseau d'Ormancey (3,9 km de long) prend naissance à la source à l'est de Montberthaut, aux lieux-dits la Croix de l'Ormeau et sur Popins. Coulant de façon générale vers le sud-ouest, il contourne la butte de Mont-Saint-Jean par l'est et arrose le moulin de l’Étang et Ormancey. Il conflue au lieu-dit la Petite Verlon, m en amont du moulin Doyen. Le ruisseau de Gincey (~3 km de long) prend naissance à Gincey et coule vers le sud-ouest. Il passe près du hameau de l'Aubue Relief Le Serein s'est taillé un vallée dont la largeur à ce stade varie entre 1,8 et 28 km ; toute la partie ouest de la commune empiète sur cette vallée, pour une surface avoisinant les 600 à 700 hectares. Le reste de la commune est un plateau entaillé de petites mais profondes vallées, avec des coteaux de 75 à 100 m de hauteur. Communes limitrophes Huit communes sont limitrophes à Mont-Saint-Jean ; la commune de La Motte-Ternant n'est pas limitrophe, bien que son territoire soit tout proche à l'ouest. Hameaux, lieux-dits et écarts Dans la boite déroulante qui suit, les hameaux sont en caractères gras et les lieux-dits en italiques. Les noms suivis d'une astérisque sont ceux indiqués sur la carte de Cassini (établie vers 1745) ; le cas échéant, l'orthographe passée différente est indiquée entre parenthèses. Histoire Moyen Âge Mont-Saint-Jean a été une seigneurie importante de Bourgogne et la résidence d'une puissante famille sous les ducs de Bourgogne de la race Capétienne. Les Mont-Saint-Jean sont probablement en famille avec Raynard vicomte de Beaune : dans les deux familles les prénoms Raynard et Hugues dominent et celui d'Aganon est également courant parmi les premiers vicomtes de Beaune ; de plus Hugues de Mont-Saint-Jean est le premier témoin civil cité dans un document non daté concernant la fondation de Cîteaux établi par Raynard vicomte de Beaune. Le prénom Aganon est également courant parmi les seigneurs de Vergy, même si la connexion entre la famille de Vergy et les vicomtes de Beaune n'a pas été établie (Hugues III de Mont-Saint-Jean épouse une femme de la famille de Vergy avant 1152). Ils sont aussi en famille avec les de Couches. À cette époque les descendants de l'antique famille de Vergy, issus eux-mêmes des premiers comtes d'Auxois, occupent une partie des places fortes du pays et les principales situations féodales de la contrée. Ses multiples et puissants rameaux s'étendent depuis le Mâconnais jusqu'aux extrêmes limites de l'Avallonnais. Les seigneurs de Mont-Saint-Jean y sont alliés. La terre de Mont-Saint-Jean est une baronnie. La première mention connue du château date de 924 : la chronique de Flodoard le cite deux fois, sous le nom de Castellum Montis Sanctis Johannis. Cette année-là Raynard de Vergy, vicomte d'Auxerre et frère de Manassès II "comte de Dijon", s'en empare avec l'aide de ses neveux Valon et Gislebert de Vergy, après la mort en 921 du comte d'Auxerre Richard le Justicier. Raoul duc de Bourgogne puis roi des Francs, reprend le château plus tard dans l'année. Reynard aurait livré son fils en otage. La chronique ajoute que le roi Raoul passe quatre semaines à Saint-Remy de Reims, se rend de là à Soissons, puis en Bourgogne et qu'il ne rentre en France qu'après avoir reçu et pris possession de Mont-Saint-Jean des mains de Raynard. Raoul confie peut-être ensuite Mont-Saint-Jean à Reynard, car 150 ans plus tard un "Raginardus de Monte sancti Johannis" est nommé dans deux chartes de 1076 et 1077. Ce personnage a le nom et les manières de son ancêtre : il prend Beliniacum, propriété de l’Église d'Autun. Or l'évêque d'Autun depuis au moins 1055 est son propre frère Aganon de Mont-Saint-Jean († 25 juin 1098), qui en 1176 porte jugement contre son frère Raynard pour ce fait ; en 1077 Raynard rend les biens volés à l'Église d'Autun. Raynard et Aganon ont un frère, Gaudry de Couches († un 24 fév.) qui, au vu du nom différent, est probablement un demi-frère par leur mère. Guy de Mont-Saint-Jean († 1145/52) épouse une femme de la maison de Saulx (prénom inconnu). Ils ont: Hugues († apr. 1196), épouse Elisabeth de Vergy avant 11523 Jean, cité avec Hugues dans des chartes allant de 1116 à 11458 ; Emmeline († apr. 1152), dame de Blaisey par mariages ; une fille, prénom inconnu, devient dame de Chaudenay par mariage. En 1180 Hugue de Mont-Saint-Jean, qui a jusque-là interdit à l'évêque d'Autun de fortifier Thoisy-l'Évêque, accepte enfin de le laisser faire. Cette licence de la part de Hugues de Mont-Saint-Jean vient après que Hugues III, duc de Bourgogne depuis 1162, ait renoncé en 1172 à poursuivre ses propres réclamations au sujet de la fortification par l'évêque d'Autun des châteaux de Thoisy et de Touillon. C'est donc probablement Henri de Bourgogne, oncle paternel du duc et évêque d'Autun de 1148 jusqu'à sa mort en 1170 ou 1171, qui avait fait lever les fortifications de ces deux châteaux. Marguerite de Mont-Saint-Jean († apr. sept. 1252), fille de Guillaume de Mont-Saint-Jean et de sa femme Marie des Barres, épouse Alexandre de Montagu († août 1256/mars 1258, arrière-petit-fils10 de Hugues III (1148-1192) duc de Bourgogne). En 1244 Alexandre de Montagu rend hommage à son beau-père pour les biens constituant la dot de son épouse. La même charte de 1244 précise que Guillaume de Mont-Saint-Jean tient lui-même des fiefs d'Eudes de Montagu (1196/1200-sept. 1244/1249), père d’Alexandre ; et qu'Alexandre s'engage à maintenir Guillaume comme vassal pour ces fiefs si lesdits fiefs lui reviennent par héritage. Vers 1280, le seigneur de Mont-Saint-Jean fonde à Soussey le prieuré de Saint-Jean de Jericho qu'il confie à l'abbaye de Saint-Seine. Le prieuré disparaît au xvie s. Il est rétabli un peu plus tard et disparaît à nouveau à la Révolution. À la fin du xiiie siècle la grange du Mont est construite pour l'élevage du mouton sur un domaine inoccupé de Mont-Saint-Jean, dans le nord de l'actuelle commune, sur un site partagé avec Charny. Mais la dépopulation très importante (et la forte baisse corollaire de l'économie) dans la seconde moitié du xive siècle, ainsi que les changements profonds du commerce de la laine vers cette époque, la font abandonner fin xive ou début xve siècle. Le site, abondamment fouillé et étudié dans les années 1960/1980, a révélé un établissement conçu dès l'origine pour exploiter une grande surface avec de bons outils : les bâtiments étaient de bonne qualité et bien pensés, avec une grange de plus de 540 m2, un local à cheptel de 300 m2, une remise, et une maison de 120 m2 d'emprise au sol qui incluait l'écurie - témoins les clous de ferrage brisés restés sur le sol. les bâtiments ont la particularité d'être centrés autour d'une cour, où se tenait aussi le four à pain ; en ce sens cette ferme est un prémisse des fermes à cour fermée du xvie siècle. Autre curiosité, elle comporte aussi deux fosses, très probablement des fosses à purin (l'une pour laisser maturer le purin frais, l'autre pour stocker le purin affiné. Les fouilles ont mis au jour un important équipement en métal, aussi bien fourni que dans les domaines de nobles. La famille de Mont-Saint-Jean s'éteint au xive siècle. Hugues III, dernier du nom, n'a pas d'héritier mâle ; sa fille aînée Jeanne fait passer les immenses biens de cette puissante famille dans celle de Thil par son mariage avec Pierre de Thil seigneur de Saint-Beury. En 1413, la terre de Mont-Saint-Jean passe dans la maison d'Anglure par le mariage d'Alix de Toucy, fille de Guy de Mont-Saint-Jean et sœur de Jeanne, avec Ogier d'Anglure. Le 9 novembre 1427, Claude de Beauvoir, seigneur de Chastellux, rachète cette terre à Jean d'Anglure, fils d'Ogier, pour la somme de 16 625 livres. En 1442, il vend Mont-Saint-Jean à Pierre de Bauffremont, seigneur de Charny et de Molinot, conseiller et chambellan du duc de Bourgogne, sénéchal et maréchal de Bourgogne, chevalier de la Toison d'Or. En 1443, Pierre de Bauffremont épouse Marie de Bourgogne, fille naturelle du duc de Bourgogne Philippe le Bon. En 1453, la chapelle du château est consacrée en tant qu'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste, à la même époque que la translation de reliques depuis le château vers l'église. Ces reliques sont celles de sainte Pélagie et de saint Julien d'Antioche. Les reliques de saint Julien étant renommées pour la goutte, le pape Clément XI qui en souffrait envoie son nonce en demander une portion à l'évêque d'Autun Gabriel de Roquette - en 1705 selon Courtépée, mais Gabriel de Roquette résigne cet évêché en 1702. Lorsqu'elle est transférée du diocèse d'Autun à Pouilly-en-Auxois en tant que succursale, la cure de Mont-Saint-Jean vaut 15 000 à 1 800 livres. En 1574 elle appartient à l'abbesse de Saint-Jean d'Autun et est estimée à 70 livres. Le 9 juillet 1456, Philippe le Bon érige en comté les terres de Charny, Mont-Saint-Jean, Montfort, Villaines-les-Prévôtes, Arnay-le-Duc et Pouilly au profit de Pierre de Bauffremont. Faute d'héritier mâle, cette terre passe successivement dans les maisons de Luxembourg puis de Chalon. Époque moderne Le 29 mai 1534, Philiberte de Luxembourg, veuve de Jean de Chalon, fait donation entre-vifs à Dijon de Mont-Saint-Jean et de tout le comté de Charny à l'amiral Chabot. Son fils Léonor reprend le fief de Mont-Saint-Jean et fait construire vers 1570 le manoir de Gincey au nord-est du bourg et au pied de la butte. Elle fonde une messe quotidienne dans l'église Saint-Jean, plus tard réduite à une grand-messe par semaine. La baronnie de Mont-Saint-Jean reste dans cette famille jusqu'en 1656, date à laquelle elle passe, à la suite d'un procès, dans la maison de Lorraine. Le 28 juin 1761, Louis-Charles de Lorraine décède, tué à la chasse. Sa veuve Marie-Louise-Julie-Constance de Rohan, appelée la comtesse de Brionne, hérite avec ses enfants de la baronnie de Mont-Saint-Jean. En 1778, elle vend le comté de Charny (Mont-Saint-Jean, Charny, Arnay et Pouilly) à la maison royale de Saint-Louis établie à Saint-Cyr, mais se réserve le titre de comtesse de Charny qui appartient aujourd'hui à la famille royale d'Italie. La Révolution approchant à grands pas, les dames de Saint-Cyr ne jouissent pas longtemps de ces immenses propriétés. Le comté de Charny est démembré, Mont-Saint-Jean transformé en commune. Révolution et post-Révolution À la veille de la Révolution, la paroisse dépend du diocèse d'Autun, de la généralité ou intendance de Dijon, de la subdélégation de Saulieu, du bailliage de Saulieu, de la recette et des impositions de Semur-en-Auxois. La population est de 1 188 habitants. De par son importance, Mont-Saint-Jean est érigé en chef-lieu de canton. Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795) la commune porte le nom de Mont Serein. Tout ce système mis en place sous la terreur disparaît avec elle. Le Directoire supprime les districts et rétablit une hiérarchie administrative. Mont-Saint-Jean redevient une commune. Courtépée mentionne au xviiie siècle une chapelle rurale Sainte-Pélagie, dont il ne reste plus que le nom d'un lieu-dit (larrey Sainte-pélagie au sud-ouest de Mont-saint-Jean, entre le bourg et la D36). Il mentionne également une léproserie disparue de son temps, qui aurait été située "plus bas" (que la chapelle), "dans un champ appelé encore la Maladière; et un château de l'Ognon dans la partie basse du bourg ("Saint-Jean-le-Bourg"), encore existant en 1848 mais disparu en 1924. La maison-dieu La date de construction de la maison-dieu de Mont-Saint-Jean n'est pas connue. C'est une halte sur la via Lemovicensis du chemin de Compostelle. Elle est réunie en 1488 au prieuré augustin de Nailly (sur Flavigny-sur-Ozerain), puis à l'abbaye de Flavigny qui y dédie un desservant. Mais le prieuré crée des litiges avec les habitants ; en 1576, Flavigny abandonne ses prétentions sur cet établissement, au profit des habitants représentés par Melchior Espiard et Louis Jacquin. L'acte de résignation est signé par le curé et onze chanoines de Flavigny. L'hôpital fonctionne jusqu'au xviiie siècle. Il est classé MH. Démographie L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007. En 2015, la commune comptait 250 habitants, en augmentation de 0,81 % par rapport à 2010 (Côte-d'Or : +1,68 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Useful information
Groupe (à partir de 10 personnes): 3 €/personne lesamis.montsaintjean@yahoo.fr
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