Château de Caumont, where you can enjoy a beautiful view over the Pyrenees, consists of two buildings on a vast esplanade overlooking the Save river valley : the old castle built on the site of a fortified castle that belonged to Gaston Phoebus; the present Renaissance castle whose construction lasted from 1525 to 1535. Nicolas Bachelier, well known architect in Toulouse, was the author of the original plans of Caumont Renaissance castle. The castle sits on two levels of underground vaults, it is flanked by four strong towers so that openings and slits control the facades. Two octagonal towers are guarding the West side. One can observe four “pepper “towers pepper which are located in the eastern and northern parts. The structure is alternating bricks and stones bands which allow light to play with much happiness. Three wings forming together a U are surrounding a beautiful courtyard recently restored. On the ground floor, divided windows open onto the courtyard. Upstairs, windows have with less divisions . The beautiful front door opens onto a staircase according to the Florentine fashion adorned with vaulted bays alternating three classical Greek building methods . In the courtyard on the north wing, on the first floor on can find a shuttle race representing a fairly typical outdoor works of Mr Bachelier as found at the Hotel d'Assezat in Toulouse. This shuttle race, where one has a nice view over the park and Cedars trees of Lebanon, can reach the courtyard by a spiral staircase of the sixteenth century. Within the central wing, two lounges: One whose wall is decorated in the purest Troubadour style; The other has a very interesting ceiling decorated mid Roman style and mid end of 18th century style. On the first floor, a Romantic chapel with a beautiful stained glass window designed by Master Marechal, who also signed the windows of the Fourviere Basilica in Lyon. In the north wing, the room where the King Henri III of Navarre, the future Henry IV, stayed. Pierre de Nogaret de La Valette Nogaret built the present castle on his return from Italy wars he made with Francis 1. His grand-son, Jean-Louis de Nogaret de La Valette Nogaret was born there in 1554 and became Duke of Epernon thanks to Henry III he served before Henri IV and Louis XIII. Then he endured a less favorable period as Richelieu, who feared him much, sequestered all his possessions - including the Cadillac castle - and had him locked in Loches dungeons, where he died at the age of 88. Caumont castle escaped this fate as the Duke of Epernon had already given it to one of his sons. n the nineteenth century, Armand, Marquis de Castelbajac, lived between the campaigns of the Napoléon Grand Army. He then left with his wife, Sophie de La Rochefoucauld-Liancourt, as Ambassador to St. Petersburg in Russia during Napoleon III reign. Then, Senator of the Empire and President of the General Council of Gers department, he devoted the rest of his life to this department. Today, the old castle and an orangery were restored and converted into reception rooms used for special occasions: weddings, seminars, exhibitions, etc.. http://www.caumont.org

Le château de Caumont est un monument de la Renaissance française situé sur la commune de Cazaux-Savès, dans le département du Gers, en France. Cet édifice est classé au titre des monuments historiques. Situation Le château de Caumont est situé à 12 km au sud-ouest de l'Isle-Jourdain par la D634 et la D610 et à 7 km au nord de Samatan par la D39. Description Son site et sa silhouette lui ont valu les surnoms de « château de la Loire en Gascogne toulousaine », de « château de la Belle au bois dormant en bord de Save » et de « château des légendes »[réf. nécessaire]. Le château est composé de deux corps. A l'entrée, la partie la plus ancienne, d'une architecture plus typiquement médiévale, date du xve siècle. Elle est ce qui demeure du château fort d'origine. Le bâtiment carré qu'elle protège, plus tardif, est de style Renaissance. Son impressionnant volume de brique rouge et ses hautes toitures d'ardoise émergeant sur la hauteur d'une luxuriante futaie justifient bien ces surnoms. Il est entouré d'un parc de 50 hectares. Historique Le territoire sur lequel fut construit une première fortification au xiie siècle Se situait à la frontière du Comté de Comminges et du Cogotois, une petite région située entre Samatan et l'Isle-Jourdain regroupant Castillon-Savès, Marestaing, Auradé, Cazaux-Savès, Labastide-Savès, Frégouville, Monfeferran-Savès et Clermont-Savès. Elle sera érigée en vicomté en 1342 par lettres patentes du roi Philippe VI de Valois au bénéfice du baron Bernard de Marestang. Le château de Caumont est construit sur les vestiges d'un château fort ayant appartenu à Gaston Phébus. La seigneurie entre dans la famille Nogaret de La Valette par le mariage, le 21 avril 1521, de Marguerite de l'Isle, dame de Cazaux et de Caumont, avec Pierre de Nogaret, seigneur de La Valette. C'est ce dernier qui fait édifier le château actuel de 1525 à 1535. L'architecte est Nicolas Bachelier, architecte toulousain célèbre. Un autre membre de la famille, Jean-Louis, duc d'Épernon est né au château de Caumont. Il fut l'un des favoris du roi Henri III, duc et pair, amiral de France et compagnon du roi Henri IV auprès duquel il se trouvait lors de son assassinat par Ravaillac en 1610. Ambitieux, plusieurs fois disgracié et revenu en grâce, il vécut jusqu'à la fin du règne de Louis XIII ayant été le maître d'un cinquième de la France en tant que gouverneur de la Provence, de la Normandie, de l'Angoumois, de l'Aunis, de la Saintonge et de la Guyenne. Cette illustre famille fut aussi responsable de l'édification du château de Cadillac aux portes de Bordeaux , sur les plans de Caumont. Une partie du château date de la première moitié du xvie siècle. On y accède par une vaste esplanade de 62 ares aboutissant à une basse-cour avec un long bâtiment très remanié qu'abritent les écuries. Le château déploie trois grandes ailes ouvertes sur une cour intérieure bornée par deux tourelles hexagonales à toitures en bulbes. Quatre pavillons de plan losangé à hauts toits à quatre eaux, couverts d'ardoise flanquent les angles. Les élévations extérieures sont assez austères et trahissent encore une préoccupation défensive. Deux vastes étages de sous-sols voûtés marqués de nombreuses pièces à usage défini témoignent encore de l'activité importante du château qui employait de nombreux domestiques jusqu'au milieu du xxe siècle. Les façades sur cour sont très harmonieuses. Elles alternent pierre et brique. Sur les façades ouest et sud : croisées et demi-croisées surmontées d'oculi. Au sud, une coursière (une galerie extérieure) repose sur de robustes consoles sculptées, comme dans certains hôtels particuliers toulousains (hôtel de Bernuy, hôtel d'Assézat). Depuis cette coursière, il est possible d'admirer le parc et ses cèdres du Liban. Il est possible, ensuite de rejoindre la cour d'honneur du château par un escalier en vis du xvie siècle. En 1658, un incendie détruisit l'aile sud qui fut alors reconstruite dans un même esprit mais dans un style classique plus affirmé : bossage, travées rythmiques... Au début du xixe siècle, James de Mac-Mahon et son épouse Pauline de Percin Montgaillard La Valette, descendante du duc d'Epernon, firent installer un décor de style troubadour pour les salles du rez-de-chaussée. C'est un exemple unique de ce style en Gascogne. Un peu plus tard, le marquis de Castelbajac fit hausser les toitures et les fit recouvrir d'ardoise, matériau peu usité dans cette région. Dans les années 1980, le vicomte et la vicomtesse Jean de Castelbajac ont entrepris d'importants travaux pour redonner à la cour d'honneur son aspect d'origine, ce qui y permet de nouveau l'organisation de concerts et d'événements. Le château est toujours à ce jour propriété de la famille de Castelbajac. Parc Le parc de Caumont abrite plusieurs arbres remarquables, en particulier un chêne âgé d'environ 450 ans (à droite, en montant l'allée d'accès). Dans la première moitié du xixe siècle, la partie proche du château bénéficie d'importants aménagements. Sur environ dix hectares, la marquise de Castelbajac, née Sophie de La Rochefoucauld, fait alors planter quantité d'essences nouvelles pour l'époque, notamment des Cedrus libani, micocouliers, arbres de Judée, variétés de Sophora et palmiers. Un ingénieux système d'irrigation souterrain, avec citernes, norias et canalisations, est construit (détruit dans les années 1960). Une glacière de briques roses, édifiée vers 1850, permet de conserver la glace pour les habitants du château : ce petit bâtiment, restauré en 1995, fait aujourd'hui partie du circuit de visite. Ce parc s'intègre à la manifestation Rendez-vous aux jardins organisée chaque année depuis 2003 par le ministère de la Culture. Protection Le château fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 9 juin 1943, et le bâtiment des communs renfermant notamment les écuries (cadastrés A 178 et A 179) ainsi que le parc font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 30 mai 1984. Le parc et les communs, dans sa partie délimitée sur le plan annexé à l'arrêté, avaient entre-temps fait l’objet d’une inscription au titre de l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le 17 avril 1947.

Le parking GRATUIT Adulte: 8 €; 5 € (Journées du Patrimoine) - visite guidée Enfant: 3,50 € (visite guidée) Groupe (minimum 20 personnes): 5 € (sur réservation, visite guidée) contact@caumont.org

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