Château de Crazannes in Crazannes, in Charente-Maritime, a historical monument in 1913, is one of the oldest castles in Charente-Maritime. Construction began in the fourteenth century on the site of a former medieval fortress from the eleventh century which remains the chapel, the moat and the dungeon.Historical monument in 1913, the Castle of Crazannes is one of the oldest castles in Charente-Maritime, and one of the first private castles to have achieved this ranking. Subsequently, three entries in 1925, 1963 and 1988 will complete the first protection. Construction began in the fourteenth century, at the very site of a former medieval fortress of the eleventh century whose remains today the chapel, the moat and the keep (remains of the wall). Originally property of Tonnay-Charente lords, the site has had many owners, including, among others, Jacques Poussard (adviser to Charles VI), Daillon the family or the family Acarie. This family, whose men were illustrious military, lived in the castle for over 300 years and achieved major expansion ... Among those who stayed at the castle, some were particularly impressed people: and in the fourteenth century, the Black Prince has spent time in the field, and in 1519, Francis spent a night ... But the most famous remains Puss in Boots, the master, owner of the castle, was celebrated by Charles Perrault in his tale. Subsequently, the castle belonged to the family Chaudruc that, in the early twentieth century, there began to heavy restoration work.
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Château de Crazannes

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Le château de Panloy est situé à Port-d'Envaux en Charente-Maritime. Le château appartient à la même famille depuis sa construction, il n'a jamais été vendu, de ce fait son intérieur et mobilier sont authentiques. Il est toujours habité par les mêmes descendants, ceux de la Maison de Grailly et plus particulièrement par Jean de Grailly.
Historique
Guillaume de Ransanne(s) est connu comme le premier seigneur de Panloy, puis on a des traces écrites indiquant les Moreau, qui furent seigneurs de Panloy du début du xve siècle à 1680.
Saisie et vendue, la seigneurie change plusieurs fois de propriétaire, et le 8 juillet 1760 elle constitue la dot apportée par Marie Sarry, dame de la baronnie de la Chaume de Nancras et de Champagne, de la Tour et de Panloy, à Jacques Michel, baron de Saint-Dizant.
Il reconstruit le château en ne gardant que les deux pavillons d'entrée.
Leur fille Anne-Marie épouse en 1785 le marquis de Grailly, dont les descendants sont encore propriétaires du château.
Durant la Révolution, la marquise, utilise comme d'autres aristocrates dont les biens, voire la vie étaient menacés, la loi révolutionnaire du divorce, ce qui lui permet de conserver le domaine; quand son mari est amnistié durant le Consulat, il revient en 1802 et ils se remarient en 1806; depuis, le château reste dans la même famille avec le mobilier d'époque Louis XV.
Architecture
Il existait alors une construction de la fin du xvie siècle et un château plus récent, l'un et l'autre en mauvais état.
Il n'en reste qu'un pavillon de style fin Renaissance, et un autre plus tardif, peut-être mi-xviiie, ornés de colonnettes, chapiteaux, caissons sculptés de fleurs, de lions, de masque.
Le château actuel, construit de 1770 à 1772 pour le baron de Saint-Dizant est en forme de U; il présente une façade centrée par une avancée à fronton triangulaire sculpté des armoiries familiales, ajouté lors des importants travaux d'agrandissement et d'embellissement entrepris vers 1870 par le marquis Gaston de Grailly, qui séjournait au château après avoir passé l'hiver dans son hôtel de la rue Saint-Hilaire à Poitiers ; les deux ailes sont flanquées de quatre pavillons hauts.
Le petit pavillon de droite date de la Renaissance, il appartenait à l'ancien château renaissance. Le pavillon de gauche a été copié sur lui lors de la construction de Panloy mais possède des ornements du xviiie siècle.
Les toitures couvertes d'ardoises sont percées de lucarnes à fronton sculpté (ajoutés) depuis 1877 époque où le toit originel à combles dits brisés ou "à la Mansard" (tuiles et ardoises ?) a été supprimée et refaite plus haute, suivant la mode du xixe siècle.
La longue terrasse à balustrade de pierre domine la Charente
Le pigeonnier complet et le mieux conservé du département, est une fuie cylindrique de 3 000 boulins, à toiture surmontée d'un lanternon, est signé du maître-maçon et daté de 1620 ce qui indique, étant donné la législation en vigueur, un domaine de plus de 1 000 arpents, soit un tiers d'hectare (33 ares) ou un "journal" en Saintonge, qui a donné le mot journalier pour ouvrier agricole.
La façade d'architecture Louis XV, la suite de tapisseries de Beauvais (xviiie siècle), encastrées dans les boiseries et la balustrade sur la Charente sont inscrits à l'I.S.M.H. depuis le 18 octobre 1983; le pigeonnier est classé Monument Historique.
Parc et jardins
Le parc, dessiné au xviiie siècle a été réaménagé au xixe siècle, il est inscrit au pré-inventaire des Jardins Remarquables.
L'allée principale a été tracée au xviiie siècle. Il existe une charmille. Près du fleuve, un ancien jardin divisé en six carrés était entouré de viviers.
Les écuries XIXème de dimensions impressionnantes montrent bien la fonction première du château : demeure estivale et de chasse; les boxes o,ny conservés portent le nom des chevaux, une grande salle servait également à ranger les voitures hippomobiles. Ces écuries servent aujourd'hui pour les pensions équestres au château.
Visites
Visites guidées des différentes pièces du château : salons, salle à manger, galerie de chasse, chambre et combles.
Toutes les pièces sont meublées avec du mobilier d'époque et d'origine; les visiteurs peuvent découvrir des objets insolites, témoins de la vie d'autrefois, notamment une chaise à porteurs du xviiie siècle avec ses deux bâtons (ce qui est assez rare car nombre d'entre elles furent ultérieurement transformées en vitrines) et une baignoire en métal et piètement en bois à roulettes d'époque Louis XV, ou encore une trompette de calèche.qui servait à signaler l'arrivée d'un équipage.
La galerie compte 150 trophées de chasse.
Visite des extérieurs : visite libre des écuries, pigeonnier, chapelle, buanderie, boulangerie et jardins.
Site ouvert à la visite du 1er avril au 1 novembre tous les jours sauf le lundi de 10h à 12h et de 14h à 18h. Du 15 juin au 15 septembre ouvert tous les jours de 10h à 19h.
Le château de Panloy et les représentations d'opéra qui y sont données au début du mois d'août, ont été la base d'inspiration et le modèle pour le château de Guerloy où se déroule l'action du roman policier " Figaro est mort" de l'auteur D. M. Benoliel

Château de Panloy

Château de la Roche Courbon is a large château, developed from an earlier castle, in the Charente-Maritime département of France. It is in the commune of Saint-Porchaire between Saintes and Rochefort. Its name is just as frequently written Château de la Rochecourbon. The château is privately owned, and classified as an historic monument. The garden is listed by the French Ministry of Culture as one of the Notable Gardens of France.
History
A castle was built around 1475 by Jehan de Latour, on site which had been inhabited since prehistoric times. In the 17th century, the Courbon family, which had occupied the castle for two centuries, transformed it into a more comfortable residence. More alterations were made in the 18th century, but it was eventually sold in 1817 and then abandoned. It was purchased in 1920 by Paul Chénereau, who restored the château and its gardens. The château is still owned and inhabited by his descendants.
Built in the 15th century, upon a rocky outcrop in the midst of marshland, the original castle was transformed into an elegant residence by Jean-Louis de Courbon, during the 17th century. As the marquis would not flee during the French Revolution, the château was not sold. His daughter Charlotte married an aide de camp of Napoleon. Because upkeep was so expensive, however, the château became abandoned during the following hundred years.
Description
The interior of the château contains decor from the 17th century, in particular a bathroom covered with painted wood panels and sculptures from 1662.
The château has a Garden à la française, redone in 1936-1939, featuring a terrace with an Italian gallery, a monumental stairway, a parterre with four compartments and a fountain, topiary, and statues. The property is entered via the 'Porte des Lions', an imposing 17th century edifice. Inside the moat is the 'keep', an ancient machicolated tower.
The gardens include orchard, flower garden, geometrical flower beds and lawns surrounding a small lake ('mirror pool'). The River Bruant flows through the gardens, feeding the water features. Beyond that, an ornamental staircase leads to higher ground, on the far side of the river.
In the grounds are some stone age cave dwellings, at the base of sandstone cliffs, in woodland close by the river Bruant. Prehistoric finds from the site are housed in the 'keep' museum.
Owners
Pierre Loti (1850–1923) spent holidays with his sister in the Saintonge region. On his excursions, he (re)discovered the Château de la Rochecourbon, in an abandoned and ruined state, overgrown with brushwood. Benefiting from his fame, Pierre Loti brought the château to notice by calling it the "sleeping beauty of the forest" and launched a public appeal to save it and its forest.
Paul Chénereau (1869–1967), a local man, bought the château and restored it to its former splendour.

Château de la Rochecourbon

Commenced in 1180 by Guillaume de Lusignan, at a time when construction of fortified castles in stone was just beginning, this castle constitutes a remarkable example of medieval civil architecture. Located on the eastern shore of the gulf of Saintonge, it contributed to defense of the salt marshes. As for its owners, who belonged to the Lusignan and then the Saint Gelais de Lusignan families, from the Middle Ages through the Fronde (1648-1653) they benefited from the protection of the feminine spirit named Melusine and were wont to draw attention to their symbolically colorful characteristics.
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