Champlitte is a commune in the Haute-Saône department in the region of Bourgogne-Franche-Comté in eastern France. The inhabitants of Champlitte are known in French as the Chanitois.
History
During the Roman Era, Champlitte was close to two major roads, one from Langres to Besançon and the other from Danmartin to Langres. Several villas have been found in the area, as has a hoard from the third century, confirming that the area was inhabited.
The origin of the name come from Champlitte campus litensis or campus limites. We find the first written in the chronicle of the Abbey of Bèze. The first lord of Champlitte whose name is preserved was Gérard de Fouvent.
The town prospered under the Lords of Vergy.
Champlitte was successively part of the dioceses of Langres, Dijon and Besançon. It was the chief town of the district from 1790 to 1795. The commune of Champlitte in its present form was created on 1 January 1972 by the merger of municipalities of Champlitte-and-the-Prélot, Champlitte-la-Ville, Leffond, Margilley, Montarlot-lès-Champlitte and Neuvelle-lès-Champlitte . On 1 July 1974, the municipality was enlarged by the annexation of Frettes, an old town formerly belonging to the department of Haute-Marne. In terms of area, it is the largest municipality in the department of Haute-Saône.
Champlitte is the third largest wine growing area in Franche-Comté.
Geography
 The river "Le Salon" in Champlitte
The river "Le Salon" in Champlitte
The city is situated on a hill at an elevation of 240 metres and is located at the edge of three regions: Franche-Comté, Burgundy and Champagne-Ardenne. It overlooks the River Salon.

Château de Champlitte

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Le château de Rosières est un manoir fortifié (ou maison forte) situé sur la commune de Saint-Seine-sur-Vingeanne (située à trois kilomètres du lieu), en Côte-d'Or, à proximité de la Vingeanne (rivière) et de la départementale D38. Il est situé en Bourgogne-Franche-Comté.
Le château fait l’objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 3 juin 1927 d’un classement depuis le 28 janvier 1930.
Historique
Dès le xie siècle, le nom de Rosières apparaît dans différentes chartes. Il désigne alors une "grange", c'est-à-dire un domaine d'exploitation rurale attaché à une seigneurie. De provenance ducale, le fief de Rosières aurait été concédé en 1321 (ou 1320 ?) à la première famille porteuse du nom de Saint-Seine par Eudes IV, duc de Bourgogne, en échange de la grange d'Estaule (à Saint-Seine-sur-Vingeanne). De 1321 à sa mort en 1350, Pierre de Saint-Seine bâtit le domaine. Au xve siècle, pour faire face aux dangers que représentent les guerres incessantes qui ravagent la contrée, le manoir est fortifié avec l'agrément du duc. Il peut servir de refuge aux cultivateurs du domaine menacé. Le donjon semble ainsi avoir été terminé en 1445. En 1474, on parle de la "maison forte" de Rosières. Elle est alors possédée par Pierre et Guillaume de Saint-Seine. Les armoiries des Saint-Seine, peintes ou sculptées au xve siècle, se retrouvent dans la bâtisse. Après plusieurs ventes et successions, le domaine revient en 1682 à Claude-Bernard de Maillard, marié à Anne-Reine Mallot du Bousquet. Celui-ci effectue divers réaménagements ponctuels à la fin du xviie siècle. On note ainsi la présence de ses armoiries et de celles de son épouse au sommet des profonds ébrasements de certaines baies. Il décide également la construction d'un pavillon classique à proximité de l'édifice médiéval. L'ensemble change encore de mains au xviiie siècle : il est la propriété de Claude Bernard, co-seigneur d'Attricourt qui l'achète en 1708, puis de Jean Verchère et Agnès de Richemont qui le reçoivent en donation (1728) et finalement, cinq ans plus tard, de Jean Chanteau, secrétaire à la chambre des comptes de Dôle qui l'achète en 1733. Au milieu du siècle, le château retourne à nouveau à la famille de Saint-Seine en la personne de Bénigne Le Gouz en (1752). En 1774, il demande à l'architecte Edme Verniquet (1727-1804) de remettre ce bâtiment au goût du jour. Du côté du midi Edme Verniquet réalisa une façade entre deux des quatre tours qui subsistait et une très belle contre-façade de style Louis XV sur le sud avec un avant-corps et un fronton triangulaire aux armes des Saint-Seine.
Le château est finalement acheté en 1980 par la famille Bergerot. Les propriétaires actuels l'exploitent en chambres et table d’hôtes.
Description
Maintenant entouré de bâtiments d’exploitation agricole, le domaine de Rosières (manoir, basse-cour et communs) était autrefois entouré de murailles qui baignaient dans le fossé d'enceinte. On a aussi signalé un double rang de fossés et d'escarpement séparés par un terre-plein. Dans l'escarpe même du rempart, s'ouvrait un souterrain fermé d'une porte, maçonné en voûte de cave, et qui reliait, dit-on, Rosières à une maison de Saint-Seine (?).
Le principal élément de l'ancienne maison forte est un imposant donjon (21 m de long sur 13,50 m de large) des xive siècle et xve siècle. Du fond des fossés subsistants jusqu'à la toiture, les murs, épais de 1,80 m, ont une hauteur de 19 m. Ce donjon "carré", bien préservé, présente tous les éléments caractéristiques des fortifications du Moyen Âge : ceinture de mâchicoulis en accolade à consoles formées d’un triple tore, chemin de ronde complet, échauguettes sur trois angles (il n'en subsiste qu'une de nos jours, à l'angle nord-ouest), meurtrières... Une grosse tour quadrangulaire (xive siècle) renforce le quatrième angle (sud-ouest) du donjon. Aujourd'hui, cette dernière n'a plus sa haute toiture à 4 pans surmontée d'un lanternon qui lui donnait une allure de clocher pittoresque comme en témoignent les peintures murales du pavillon (xviie siècle). Le donjon, lui, est couvert d'une toiture de pavillon à 4 pans reposant sur une magnifique charpente en chêne d'origine. Les combles sont très développés : hauteur de 12 m avec cheminée centrale comprenant 6 conduits.
Le bâtiment abrite une très belle salle de réception avec une cheminée du xve siècle et des baies et un plafond peint du xviie siècle. Dans ce donjon, on note aussi la présence d'une ancienne cuisine avec anneaux de suspension dans la voûte, de cheminées monumentales, d'un escalier à vis,... Il abrite surtout plusieurs chambres, aujourd'hui utilisées en chambres d'hôtes : la chambres "des ducs", entièrement refaite au xviie siècle par les Maillard (alcôve en anse de panier, armoiries et tableaux peints sur les embrasures des fenêtres), une chambre du xve siècle possédant un carrelage verni avec quatre couleurs différentes et une double porte d'entrée à plis de serviettes simples, une autre chambre du xve siècle avec cheminée, écusson à gaude de la Maison de Saint-Seine (mais fenêtre avec banc de pierre du xviie siècle) ainsi qu'une dernière, du xive siècle, au sommet de la tour quadrangulaire de flanquement (fenêtre à meneau et plafond composé de poutres en chêne côte à côte). Cette dernière tour abrite une pièce, dite "la prison", avec 4 anneaux dans la voûte et 2 meurtrières.
Le domaine de Rosières comprend également un colombier à pied (garni intérieurement de boulins), une porte charretière ouverte dans une tour fortifiée couverte d'une toiture de pavillon (du xve siècle, elle était autrefois précédée d'un pont-levis), une chapelle, dite la "Saint-Georges", près de laquelle habitait un prêtre desservant ainsi que des divers bâtiments loués à des cultivateurs.
Le pavillon du xviie siècle, construit par Claude-Bernard Maillard et sa femme Anne-Reine Maillot du Bousquet, est agrémenté de fresques. On y admire une vue du château au xviie siècle ainsi que les armoiries des Maillard-Bousquet.
Des jardins ont également été aménagés.

Château de Rosières

The actual buildings of the castle were built on the site of an older construction probably dating back to the 13th century.
The chateau occupied a strategic position on a plain in southern Champagne, near the frontier with Burgundy.
Bought by the Saulx family from the Bishop of Langres in 1513, it would later become a rare and emblematic example of Renaissance architecture in Champagne.
The Gaspard de Saulx-Tavannes family
Son of Jean de Saulx and Margaret de Tavannes, Gaspard was appointed as page of Francis I at the age of 14. Soon afterwards he followed the king to Italy, and courageously fought by his side. After returning to France, he never ceased to continue the war against the Holy Roman Emperor Charles V. He was a rugged, courageous and tireless soldier, capable of quickly making important decisions. When the Wars of Religion broke out, he fought on the side of the Catholics. In 1570 he was appointed Maréchal of France and in 1572, Admiral of the Seas of the Levant, and Governor of Provence. A year later, he died in his castle in Sully.
Gaspard de Saulx-Tavannes described the Château du Pailly, which he had inherited from his father, as a "nasty house". In 1563, distressed by the death of his son, he transformed the medieval fortress into a jewel of Renaissance architecture, in the style of the Italian palaces with which he had been so impressed during his youth.
The Château du Pailly remained in the Saulx-Tavannes family until 1764. It passed through the hands of several owners until it was purchased in 1821 by Jean-François Moreau du Breuil, who undertook measures to restore it.
The Moreau du Breuil de Saint-Germain family
Born in Langres in 1774, Jean-François Moreau du Breuil de Saint-Germain found exile on the island of Tobago (Lesser Antilles), where he made a fortune. He returned to France and purchased the Château du Pailly in 1821.The property was passed on to his son Thomas, member of the departmental council of Haute-Marne, and then to his grandson Albert, who was both a member of the departmental council and a member of parliament for Haute-Marne.
Albert Moreau du Breuil de Saint-Germain had two sons: Jean, who died in combat in 1915, and Pierre.
In 1921, the chateau was classified as a historical monument, then in 1936 was transfered to the insurance company "Mutuelles Agricoles de l'Est". It became the property of the State in 1963.
http://renaissancechateaudupailly.com

Château du Pailly

Château de Ray-sur-Saône is an ancient castle dating from the tenth century, rebuilt in traditional style in the eighteenth century, located in Ray-sur-Saône in Burgundy, Franche-Comté (classified village "Little Comtoise Town of character"). The castle belongs to the department of Haute-Saône, for a donation of 29 May 2015. It is in perfect condition and the park is open to visitors during the tourist season. It is the subject of a classification as historical monuments since November 2009. It is the subject of a registration as a historic monument since 1978.In the nineteenth century the village belonged to the abbey of St. Vincent de Chalon-sur-Saône, the Lords of Ray being the head of the lordship and ensuring the defense. Then the Abbey of Saint Vincent de Chalon-sur-Saône gives way to the counts of Burgundy in the thirteenth century, who recognize the entire property to the Lords of Ray to 1270.At the end of the twelfth century, Othon de la Roche Castle La Roche became marriage by Ray Baron with his cousin Isabelle Ray (daughter of Guy Lord Ray).The castle is built, according to tradition on an old Gallo-Roman settlement. Perched on a rocky outcrop overlooking the Saône fifty meters, the castle has 14 towers originally (largest fortress of Burgundy County in the Middle Ages) on an area of ​​8 hectares. The French-landscaped park will be planted with time of tree species from around the world: cedar, linden, pagoda trees, spruces, pines, Foyards, sycamore, ash and chestnut.The castle is heavily damaged during the Ten Years' War (an episode of the Thirty Years War) and then razed in retaliation for the asylum offered to Gaston d'Orléans in Comté then rebuilt in its present form at the end of seventeenth century and eighteenth century on the foundations of the original medieval fortress.The castle passed into the family of the Dukes of Marmier-Choiseul and that of Salverte by marriage of Gabrielle Marmier with Count Hubert Salverte. The couple's daughter, Countess Diane-Regina Salverte, gives the castle to the department of Haute-Saône 29 May 2015. Diane Salverte was the 33rd generation to inhabit the castle.
http://www.frenchchateau.net/chateaux-of-franche-comte/chateau-de-ray-sur-saone.html