Logne est un hameau du village de Vieuxville, en province de Liège (Belgique). Traversé par la Lembrée, un affluent de l’Ourthe, le hameau fait aujourd’hui partie de la commune de Ferrières en Région wallonne de Belgique. Il est surtout connu pour les ruines de son château médiéval qui le dominent sur son flanc occidental.

Toponymie

Plusieurs variantes latines sont Lomna, Longia, Lunnia et Lungia. Les textes français donnent les graphies suivantes: Loingne, Loigne et Logne qui signifierait éloigné, lointain.

Situation

Le dernier kilomètre du cours de la Lembrée est quasiment parallèle à celui de l'Ourthe dont elle est affluent. En effet, à 1 200 m du confluent, la Lembrée ne se trouve qu'à 120 m à vol d'oiseau de l'Ourthe. La colline de Logne est ainsi presque entièrement entourée d'eau. Entre ces vallées encaissées, un étroit éperon rocher d'une soixantaine de mètres de haut a permis la construction du château fort de Logne, forteresse haut-perchée et facile à défendre.

Depuis le Moyen Âge, le site de Logne a toujours tenu le rôle de frontière. Autrefois, poste le plus occidental de la principauté de Stavelot-Malmedy. Aujourd'hui, limite provinciale entre les provinces de Liège et de Luxembourg.

Kasteelruïnes van Logne

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Château de style classique sur un important ensemble de terrasses au sommet de la colline dominant l’Ourthe et la localité.

Après 1713, les de Cassal et de Hayme seront les derniers seigneurs jusqu’à la révolution. Jean-Baptiste de Hayme fut bourgmestre de Liège à plusieurs reprises entre 1762 et 1787; c’est lui qui fit construire le château actuel (entre 1774 et 1776).

Bomal a donc connu plusieurs châteaux ou maisons seigneuriales : Bomal-la-Grande en avait deux, voisines et situées à proximité du château actuel qui remplace celle des deux (la plus importante) qui subsista après la ruine (faute d’entretien) de l’autre. Celle-ci fut remplacée par une grande maison qui vraisemblablement est devenue la ferme Houard. Petit-Bomal avait sa maison forte devenue la ferme actuelle. La ‘forte-maison’ de Froidcourt et par la suite de la famille de Hodister (XVIè siècle) disparue entièrement, se situait sur l’éminence de Hodister, devant la poste actuelle.

Après avoir été longtemps l’une des frontières septentrionales du Comté puis du Duché de Luxembourg, Bomal devint, en 1795, avec Juzaine, Izier et Villers la limite méridionale du département français de l’Ourthe, canton de Ferrières (Barvaux, Durbuy, Tohogne, .. appartenant au département de Sambre et Meuse). En 1814, les deux départements fusionnent et forment le département de Meuse et Ourthe. Supprimé en 1815, le 2 octobre, ce nouveau département fut annexé temporairement à la Province de Liège du Royaume des Pays-Bas.

En 1818, un arrêté royal (hollandais) détacha Bomal et quelques autres villages de la Province de Liège pour les comprendre dans le Grand-Duché. Juzaine fut commune indépendante avec son annexe de Bomal-la-Petite jusqu’à sa réunion à Bomal le 2 janvier 1823. Ozo fut également réuni à Bomal de 1823 à 1826.

En 1831, à l’indépendance de la Belgique, Bomal et la partie occidentale du Grand Duché devinrent belges. La commune de Bomal fait partie du canton judiciaire de Durbuy, du canton de milice de Barvaux, repris dans l’arrondissement judiciaire de Marche-en-Famenne, province de Luxembourg.
En 1840 les quelques villages frontaliers de la nouvelle Province de Luxembourg qui appartenaient au diocèse de Liège (doyenné d’Ouffet) passèrent au diocèse de Namur (doyenné de Durbuy puis, en 1933, de Barvaux).

En 1977, lors de la fusion des communes, Bomal était composée de Boclinville, Bomal, Juzaine, Herbet, Petit-Bomal et Saint-Rahy. Ce qui devait être le ‘Grand Barvaux’ devint la ‘Ville de Durbuy’. Bomal accueille, depuis, le bâtiment du Centre Public d’Aide Sociale de la nouvelle entité de douze anciennes communes.

https://www.famenneardenne.be/fr/hades_offre/le-chateau-de-bomal/

Le château de Bomal

Lassus Castle is a château in Hamoir in the province of Liège, Belgium.

The château, which stands on the banks of the Ourthe, was formerly the residence of the hereditary mayors of the village. The oldest part is a small donjon of the early 14th century. Long the property of the de Maillen family, the buildings were entirely remodelled in the 18th century in the Louis XIVth style. Another major remodelling was carried between 1907 and 1920 under the supervision of "Puck" Chaudoir, a wealthy banker from Liège and the then owner.

Of the important outbuildings and supporting structures of the medieval and 18th century phases there now remain only the stables and barns surrounding a courtyard. The least modernised parts of the principal building are the river frontage and the donjon.

As well as a small internal chapel set up in 1633 by the de Maillen family, there is a chapel dedicated to Saint Peter opposite the castle, founded in 1396. The Renaissance interior contains tombstones of the de Donéa and de Maillen families.

Lassus Castle


Anthisnes (en wallon Antene) est une commune francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Liège, ainsi qu'une localité où siège son administration. Elle se trouve à 25 km au sud-ouest de Liège, dans le Condroz.

Histoire

Selon la tradition, Anthisnes aurait été fondée par Sedroc, quatrième roi de Tongres. Il est cependant établi que la région était déjà occupée par les Condruses. À l'époque de la colonisation romaine la voie impériale reliant Durocortoroum (Reims) à Colonia Agripina (Cologne), traversait la commune d'ouest en est. La présence d'une villa gallo-romaine sur le territoire et dite d'Antinac serait plus vraisemblablement à l'origine du toponyme.

Dès le Moyen Âge, les seigneuries de Baugnée, Tavier, Villers-aux-Tours faisaient partie des sept seigneuries d'au-delà des Bois, relevant du duché de Limbourg, enclave dans la principauté de Liège.

Anthisnes et Vien ont appartenu à la principauté de Liège depuis le Moyen-Âge jusqu'en 1768, année où ces deux villages deviennent la possession de la principauté de Stavelot-Malmedy (comté de Logne) jusqu'en 1795 et l'annexion à la France où tous les villages de la commune actuelle font partie du département de l'Ourthe jusqu'en 1815.

Kasteel van Anthisnes

Le château de Harzé est un château de style Renaissance mosane situé à Harzé dans la commune d'Aywaille en Belgique.

Histoire

Si les origines d'un château remontent probablement au ixe ou xe siècle, l'édifice actuel est l'œuvre du comte Ernest de Suys de Lynden qui fit aménager, dans les années 1632 à 1645, l'ancien fenil transformé en une vaste salle des comtes. Ses armoiries ainsi que celles de son épouse surmontent le porche d'entrée donnant accès à la grande cour du château. Elles sont datées de 1647.

La façade du château, restaurée entre 1909 et 1924 sous la direction de l'architecte Camille Bourgault, constitue un exemple remarquable du style Renaissance mosane, avec ses arcades en plein cintre sur colonnes toscanes et ses fenêtres à triples meneaux.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, lors de la bataille des Ardennes, le château fut réquisitionné par l'armée américaine qui y installa un état major dirigé par le général Matthew Ridgway. Ce dernier y reçut le Field Marshall Bernard Montgomery le 24 décembre 1944 et le général Dwight Eisenhower le 28 décembre 1944. Une plaque commémorative placée dans le porche d'entrée relate ces événements.

Activités actuelles
Propriété de la province de Liège depuis 1973, le château est devenu un centre de séminaires résidentiels, de réception de mariage et d'hébergement pour groupes et individuels ainsi qu'une auberge. Ses anciennes dépendances abritent le musée de la Meunerie et de la Boulangerie.

Le dernier week-end d'août, le site du château accueille la fête du fromage dont la 39e édition a eu lieu en 2018.

Kasteel van Harzé

Al in 1440 bouwde Engelbert van Schleiden op het landgoed een kasteel, koetshuis en een kapel. Verschillende eeuwen, tijdperken, oorlogen en bloeiperiodes gingen daarna voorbij. Chateau Presseux doorstond het allemaal. Het chateau had na Engelbert diverse eigenaren, zoals Baron Ferdinand van Macar die een van de oprichters was van de staat België, Graaf le Grelle, Louis Lepage die de fabrieken van Azote stichtte en uiteindelijk diens kleinzoon Stephan Nyst. Presseux werd in zijn rijke historie aangepast, uitgebreid, verbouwd en soms herbouwd, zoals direct na de Eerste Wereldoorlog. De Duitse bezetters staken Presseux toen in brand en Graaf le Grelle herstelde in twee jaar tijd de opgelopen schade. De meest recente restauratie vond echter eind jaren '90 plaats, in opdracht van de huidige eigenaren. Tegenwoordig is het chateau te huren als trouwlocatie en dat is nu precies wat wij gaan doen!

https://leonieenbas.nl/locatie/#:~:text=Het%20kasteel%20ademt%20geschiedenis%20uit,kasteel%2C%20koetshuis%20en%20een%20kapel.&text=Presseux%20werd%20in%20zijn%20rijke,direct%20na%20de%20Eerste%20Wereldoorlog.

Kasteel Presseux

Le château-ferme de la Chapelle est situé au Nord-ouest d'Anthisnes à proximité du village de Limont et date du XVè au XIXè siècles. L'ensemble est un vaste quadrilatère qui se présente avec ses dépendances en avant plan. Son arrière plan gauche est constitué par un bâtiment flanqué d'une tour datant du XVè siècle. Le corps de logis est un bâtiment de style néo-classique qui date du début du XIXè siècle. Les autres bâtiments datent des XVIIè et XVIIIè siècles. Cet ensemble est essentiellement construit en pierre du pays. Le château ne se visite pas mais est visible de la route.

https://www.liegetourisme.be/chateau-ferme-de-la-chapelle.html?origine=switchLangue

Kasteelboerderij de la Chapelle

La partie la plus ancienne du château (en fait la ferme attenante) fût construite par la famille ‘de Blier’ aux alentours de 1500 ;
cette famille y demeurera jusqu’á la moitié du 19è siècle.
Le blason de la famille de Blier est toujours visible sur le fronton du porche d’entrée du château.
Il semble que l’acteur français bien connu Bernard Blier soit originaire de cette famille.
Vers 1870, Auguste Seny, héritier de la famille de Blier, fît construire le ‘Petit Château de Blier’,
qui sera revendu en 1882 á la famille liégeoise Wilmart, qui l’utilisa comme maison de vacances.
L’aîné des enfants Wilmart, Charles, choisît d’habiter au château, et, ayant besoin de place pour loger ses 8 enfants,
construisît, entre 1890 et 1905, ce que l’on appelle aujourd’hui le ‘Grand château’.

Charles Wilmart était Conseiller Provincial et Bourgmestre d’Amonines. 4 de ses enfants ont combattu lors de la 1ère guerre mondiale.
Il décéda au château le 18 septembre 1932.

Ses enfants décidèrent de vendre le château, en 1935, á Fernand de Ghoÿ, président de l’Enseignement Libre de Belgique.
Les portraits qui se trouvent encore aujourd’hui dans la salle de billard du Grand château représentent Fernand de Ghoÿ et son épouse.

La château servit de Quartier Général aux troupes américaines lors de la Bataille des Ardennes (2è Guerre Mondiale, décembre 1944 – février 1945) :
on dit que le général Patton y séjourna quelques jours.

En 1960, le château devint la propriété d’une Mutualité flamande, qui allait y organiser des vacances pour les enfants en été.
La ferme fût alors vendue á un fermier.

En 1997, la famille Van Dessel racheta la propriété, et y entreprit d’importants travaux d’embellissement
afin d’exploiter le château comme maison de vacances.
Une annexe fût vendue en 1999 á Yves Vanderlinden, qui y installa l’hôtel-restaurant L’Affenage.

Kasteel van Blier

The Chateau was built in 1758 by Guillaume Joseph de Harlez, then completed and decorated by his son Simon-Joseph de Harlez in 1770. Its distinctive U shape is made of whitewashed bricks and blue stones under slate roofs, with an inner yard surrounded by outbuildings.

The seigniorial chapel is dedicated to Saint Remacle and was decorated with stucco work and baroque altar.  The interior of the Chateau is sumptuously decorated, particularly with rococo stuccos from the artist  François-Joseph Dukers, and paintings by Jean-Dieudonne Deneux.

To the north, a walled garden dateing from the XVIIITH century was restyled into a French garden at the beginning of the XXTH century. At the rear lies a beautiful view of the Ourthe river and the landscaped garden consisting of interesting heritage trees from the second half of the XIXTH century.

Part of the exceptional Walloon Heritage since 2002.

Today the Chateau is inhabited by Stéphane and Dominique de Harlez de Deulin and their children.

In 2016 the paint, window frames and the roof has been totaly refurbished.


http://www.espacedeulin.be/en/the-chateau

Kasteel van Deulin

De bouw van de smederij van Dieupart vond rond 1525 plaats. In 1554 wordt er voor het eerst melding van gemaakt toen deze door de Heer van Aywaille verpacht werd aan Guillaume Imbrouck, die er onmiddellijk een smeltoven bij bouwde.
De geschiedenis blijft onbekend tot aan 1618. Men weet alleen dat ze tussen 1588 en 1606 werd geëxploiteerd door een zekere Groeffe. Zij werd in beslag genomen in 1607, 1609 en in 1612.

De waalse metaalindustrie zat midden in een crisis in 1617 en de aan de Heer verschuldigde pacht kon zelfs niet betaald worden. Gedurende al deze jaren werd er vanwege financiële problemen geen enkel onderhoud gepleegd en in 1618 was het gebouw een ruine.

De Heren van Aywaille droegen het domein vervolgens over aan Catherine Potestat, dochter van Godefrois burgemeester van Malmedy, echtgenote van Jean de Selys en aan haar kinderen.

Jean de Selys gaf een nieuwe impuls aan de fabriek vanaf 1619. Hij exploiteerde het tot aan zijn plotselinge dood in 1632. Zijn weduwe volgde hem op van 1632 tot 1636, daarna hun zoon Goidefroid van 1637 tot 1673 en tenslotte de kleinzoon Matthieu-Godefroid tot aan 1686.

HuisjeVanaf de restauratie in 1619 functionneerde de oven gemiddeld 3 tot 3 ½ maand per jaar. Er werd dus maar een kwart van de productiecapaciteit gebruikt.

In 1691 werden de duitse troepen van Hesse en van Brandenburg gestationneerd in Florzé. Onder bevel van generaal von Heynen, vielen zij de stad Aywaille binnen en bezetten het te vuur en te zwaard. De beschadigde oven bleef van 1692 tot 1699 inactief.

In de XVIIIe eeuw exploiteerde de familie de Selys de fabriek niet meer, hoewel ze nog steeds eigenaars waren. De fabriek werd verhuurd aan Charles Andriessens van 1725 tot 1734; aan Gerard Houssonloge vanaf 1735 tot 1745; aan Francois Chandels van 1746 tot 1756 en tenslotte aan Jean. Ferdinand, Leonard en Gilles Bodson van 1756 tot 1804.

Gedurende de gehele XVIIIe eeuw, werd de oven slechts een deel van het jaar onder vuur gehouden om juist voldoende ijzer te smelten voor de affineerderij. De smederij had 5 werknemers (twee vuursmeden, twee affineerders en een loopjongen.). Zij produceerden jaarlijks 150 ton ijzeren staven. De smeltoven gaf werk aan 6 mensen (2 affineerders, 2 stokers en 2 ertswassers). De oven produceerde jaarlijks 185 ton gietmallen, die ter plaatse werden afgewerkt.

RadIn 1804 verkocht de familie de Selys de fabriek aan Jean-Baptiste Dupont uit Hotton en aan Hubert Jacob van Waha. Onmiddellijk na hun aankomst op Dieupart lieten zijn een tweede affineerderij met 2 kamers en een maka bouwen (een hamer op waterkracht). In 1806 vindt uitbreiding plaats met een staalfabriek en een vijlenfabriek. De productie van de oven wordt zodoende verhoogd tot 1400 a 1800 kg per dag.

Op 24 maart 1807 neemt de Prefect een besluit tot het verbod om nog nieuwe mijnputten te graven.(in Kin, de dichstbijzijnde mijn).

Op 5 maart 1811 verkoopt Dupont zijn rechten op de oven en de smederijen van Dieupart aan Joseph Libert en Joseph Lambert Lejeune. Deze werken samen met Hubert Jacob tot aan 1834, waarna Jacob zijn rechten aan hen overdraagt.

In 1836 verwerft Libert de recht van Lejeune en krijgt zodoende het alleenrecht van de oven en de smederijen. Onder directie van Joseph Libert, schakelt de fabriek over naar het produceren van gietijzer. Daar de gasverlichting een enorme behoefte aan gietijzeren pijpen doet ontstaan, levert defabriek grote hoeveelheden aan de distributeurs van gas in Luik, Antwerpen, Gent en Verviers.

Maar helaas zijn de hoogovens van Seraing, Ougree en Sclessin, die op cokes functioneren, veel productiever en kunnen ze goedkoper fabriceren. Deze technische evaluatie luidt het einde in van de fabriek van Dieupart en ze zal Joseph Libert dan ook niet overleven.

In 1846 verhuurt zijn weduwe en haar kinderen de fabriek en de waterloop (aftakking van de Ambleve) om er een zagerij van natuursteen en marmer te beginnen. In de tussentijd is het eigendom van het domein via huwelijk in handen van de familie Moxhon gekomen. De zagerij wordt rond 1896 ontmanteld door vader Emile Moxhon, maar daarvoor was in 1890 al een electriciteitscentrale op waterkracht geinstalleerd, evenals een cooperative melkfabriek, die helaas tijdens de oorlog van 1914-1918 failliet ging.

In 1925 verkocht Moxhon zijn concessie op de distributie van electriciteit aan de gemeente Aywaille door aan de A.L.E. (Luikse Electriciteitsmij.). Daar hij echter zonder toestemming van de gemeenteraad van Aywaille had gehandeld, kwam het tot een rechtzaak tussen Moxhon en de gemeente en moest de centrale tot aan 1928 electriciteit leveren aan Aywaille, dat wil zeggen totdat de Gemeenteraad op 29 maart 1928 het besluit nam om aan te sluiten op het net van de A.L.E.

Vanaf die datum stopte de fabriek met iedere activiteit en daalde zoete rust neer over het kasteel, dat toen een particulier woonhuis werd. Tijdens de oorlog van 1940-45 werd het gebouw gevorderd door de duitsers, waardoor het na vertrek gerenoveerd moest worden en er o.a. een geheel nieuwe eiken trap geplaatst werd.

Op 22 september 1977 verkreeg Guy Arends vergunning tot het exploiteren van een camping op het domein van Moxhon.


https://www.dieupart.be/het_kasteel



Kasteel van Dieupart

Le château Le Fy est situé à Esneux près de Liège en Belgique.

Histoire
Le Château Le Fy a été construit à Esneux en 1904-1905 par Paul Saintenoy, architecte de renommée internationale, pour Jean-Édouard-Jules Van Parys, gendre d’Ernest Solvay. Construit par des Francs-maçons, le château, placé sur une hauteur, comme c'est d'ailleurs le cas pour la plupart des châteaux, surplomberait volontairement, selon le folklore local, l'église du village. Occupé par l’armée allemande à la mort de son propriétaire (1915), puis devenu en 1923 propriété de François Paul Lefévre, ingénieur en Chine, il est à nouveau réquisitionné durant la Seconde Guerre mondiale. Il est classé comme monument depuis le 1er avril 1986.

En 1964, à la suite du départ des enfants de François Paul Lefévre, le château n'est plus habité. La famille déménage dans une maison annexe. Le château est alors loué à l'association du père Pire (prix Nobel de la paix 1958) pour loger les réfugiés venant des pays de l'Est (association au nom de : Aide aux Personnes Déplacées). À la suite du décès des propriétaires dans les années 1970, il devient la propriété de la commune d’Esneux en 1982. Ce monument en péril est inscrit sur la liste de l’Institut du Patrimoine wallon en 1999 afin de lui trouver une affectation.

Acheté par un richissime homme d'affaires hollandais, Arthur Paes, le château rénové est désormais la demeure privée du nouveau propriétaire qui a reçu un subside de 1.321.915 euros de la Région wallonne sur l'avis de l'Institut du Patrimoine wallon pour la restauration de l'extérieur du bâtiment.

Les travaux ont mis un terme à une mobilisation sans précédent dans la commune, mouvement orchestré par le conseil d'administration de l'Asbl château Le Fy (650 membres) qui a travaillé depuis 1994 afin de trouver une solution réaliste à cette problématique. Le 23 mai 2006, l'Asbl, qui n'avait plus d'objet, a été officiellement dissoute. L'actif net fut cédé au propriétaire pour l'affecter aux travaux de rénovation du château.


Selon le folklore local, la tour du château aurait inspiré Walt Disney pour l'architecture du château de La Belle au bois dormant à Disneyland. Il aurait en effet remarqué son élégant clocher sur une photo prise par un soldat américain en 1944.

Le château de Neuschwanstein construit par Louis II de Bavière est une option plus probable.